Kuroi Tsubasa La vie au bureau ne sera plus pareil après ce jeu !
Ratalaika continue de déferler sur nos Xbox et c'est Kuroi Tsubasa qui s'annonce. Comme dirait Riggs : "un peu de lecture pour changer" puisqu'il s'agit d'un petit visual novel à 5 euros qui est développé par Blackwing Gaming.
Pourquoi, je mentionne le développeur ? Parce que déjà c'est sympa mais aussi parce que, comme par hasard, le protagoniste trop kawaii du jeu se nomme Blackwing. La petite boule chauve-souris est un démon qui en avait marre d'être méchant et il voulait vivre chez les humains. Son échappée n'est pas passée inaperçu et c'est un peu le bordel dans la paisible ville où il débarque. Il va donc s'allier à une ravissante employée de bureau du nom de Kureha pour réparer tout ça !
Après, c'est le côté "magical girl" avec Kureha qui se transforme quand elle se combine avec les pouvoirs de Blackwing ! Employée le jour, justicière la nuit, elle va tâcher d'aider les habitants qui vont être un poil psychotique. Si l'idée n'est pas mauvaise en soi, il faut s'attendre à pas mal de blabla. Mais entre deux looooonnnngs moments de lecture, nous avons un choix à faire. Seulement, voilà, l'impact du choix n'est pas hyper marquant. Sans trop faire attention, j'ai réussi des trucs et choper quasi tous les succès en un run.
Je manquais d'attention car c'est bavard et répétitif dans la forme. Un ami de Kureha agit bizarrement, on va enquêter, il est posséder... Pouvoir de l'amitié... Bref, si c'est gentil dans l'absolu, on attend un peu plus de diversité et des choix qui impacte plus l'histoire.
Pourtant, Kuroi Tsubasa a des designs féminins attrayants et des thèmes musicaux sympathiques. Mais niveau doublage, c'est assez désert, pas de texte en français et un design masculin à 90% tout naze. Cela tranche avec les femmes qui sont toutes mignonnes. Mis à part l'un des héros, les autres ont dû être confiés à Théo le stagiaire de 3ème qui débarque avec 3 crayons de couleurs et des traits tout flous.
Kuroi Tsubasa est assez sympathique pour donner envie d'aller au bout mais il suffisait "d'un peu de fantaisie, juste un peu de magie, un éclair et c'est tout "et Kureha aurait chanté pour nous !
