LightField 2017

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LightField

LightField - Tourne, tourne la tête

LightField est un titre qui m’a tellement marqué, que du coup, j’ai failli l’appeler LightFloor pendant tout le test. Voilà, voilà…

On n’avait plus de jeux de courses avec des vaisseaux futuristes, et là, paf, deux qui sortent en même temps ou presque. Après un Redout plutôt sympa et très speed qui pompait à mort les bons vieux Wipeout, voici LightField, qui pour le coup est un peu plus original car on se déplace librement en 3D dans les courses. En effet, on n’est pas collé à la piste, on peut aller où on veut, en changeant de murs pour la gravité, et ainsi essayer de trouver un chemin plus rapide sans se crasher net dans un mur d’ailleurs. Le concept est sympa, mais le hic, c’est que cela fout la gerbe. Le jeu est assez rapide, avec des couleurs criardes et un maniement type aviation qui peut déstabiliser quand il s’agit de « s’accrocher rapidement » à une nouvelle paroi.

De la vitesse!

Etant donné que le titre a une bande son de merde, des graphismes simplistes aux couleurs criardes, avec un level design complexe mais pas très logique et enfin un design de vaisseaux qui a dû demander des heures de grèves, vous vous doutez bien que LightField ne m’a pas donné la trique. J’étais entrain de faire la course, en suivant les concurrents pour ne pas me perdre, et je trouvais ça chiant. Pourtant, dans un jeu de course rapide, on doit pouvoir ressentir des émotions, cela doit être grisant. J’aurais fait une course avec une 2CV sur un ovale cela m’aurait fait autant d’effet : j’ai juste eu peur de me bouffer le mur car ce n’est pas maniable.

Du fluo

LightFloor a voulu se la jouer « course révolutionnaire » pour au final donner envie aux joueurs d’aller sur Redout. Comme quoi la concurrence permet de voir la différence entre un bon jeu et un mauvais jeu. Et toc !

LightField - Note XboxOrNot

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