Mekabolt Je vais vous parler d’un jeu qui va encore plaire aux chasseurs de succès : Mekabolt !
Dans Mekabolt, on incarne une technicienne qui répare des robots dans un parc d’attractions. Bien entendu les robots sont devenus fous, et pour les calmer afin que ce ne soit pas le Dawa, il faut récupérer des batteries. Et c’est là que le mekabolt fait son entrée, car c’est un pistolet à impulsion d’énergie qui permet de désactiver les robots et c’est grâce à cela que notre héroïne va pouvoir réussir sa mission et partir en week-end.
C’est un jeu Ratalaïka Games, donc tout est dit : graphismes simplistes, gameplay accessible, durée de vie limité, succès à gogo. Il y a 4 mondes pour une centaine de niveaux, le jeu se terminera en deux petites heures sans forcer. Les 1000G se débloqueront bien avant, les chasseurs de succès seront contents. Dans Mekabolt, en gros il faut atteindre la fin du niveau sans se faire toucher par un robot actif. Un mix plateforme-réflexion classique de l’éditeur.
Mekabolt est mignon et jouable. On ne va pas se lever la nuit pour y jouer, mais il détend après une journée de boulot. Bon, après la soirée à jouer, on aura fait tout à 100% donc on n’y rejouera pas, c’est clairement un jeu one shot, mais il fait le job.
Comme d’habitude avec Ratalaïka Games, Mekabolt est un petit jeu sans prétention mais qui n’est pas désagréable. Rien de plus, rien de moins.