More Dark More Dark va vous faire nettoyer l'enfer.
Encore une fois, Ratalaïka Games nous offre un jeu de plateformes en 2D avec un peu d'action et surtout beaucoup de puzzles. De toute façon, la majorité du temps c'est ça, ou du visual novel. Mais il faut croire que cela marche et en général, on passe un moment plutôt sympa. Court, mais sympa. Ici, je vais vous parler de More Dark.
Une fois le Maître de l’Autre Monde parti en vacances, sa fille chérie Evilina a pris temporairement les commandes et le chaos a suivi. Les prisonniers de la damnation se sont tous échappés de leurs cachots et se sont dispersés dans le royaume, faisant éclater la fragile paix de la domination du diable. Votre tâche consiste à remettre de l’ordre dans l’Enfer, rassembler les condamnés en fuite et nettoyer chaque zone de chaos et d’anarchie. Est-ce qu'on va pouvoir sauver l'Enfer ? C'est toute la question, et surtout un prétexte pour nous faire avancer dans 60 niveaux différents.
Techniquement parlant, c'est du niveau 8 bits ou presque. Du pixel, du pixel, encore du pixel, on commence à connaître la chanson. C'est plutôt moche d'ailleurs, mais bon, on est en Enfer, notre personnage est un vilain, à la limite c'est raccord. La musique est rétro, mais elle fait le job, je n'ai rien à lui reprocher. Le gameplay est simple et efficace : on pousse des caisses, pour sauter sur des plateformes ou bloquer des ennemis. Comme d'habitude dans ce genre de jeu : on lance une petite partie et puis on fait un "dernier niveau pour la route" qui se transforme en... Plusieurs niveaux enchaînés.
More Dark est un petit jeu, pas exceptionnel, mais il saura vous occuper sur une soirée si vous aimez le genre. Vite joué, vite oublié, mais au moins, il nous aura diverti et c'est bien le principal.