One Night Stand One Night Stand est un jeu qui parlera aux mecs qui se sont réveillés avec la gueule de bois…
… Dans le lit d’une femme inconnue. Un synopsis très simple pour un jeu… Très simple. Nous sommes dans un jeu purement narratif, avec en tout et pour tout 4 écrans différents (à peu près). On est dans la peau d’un mec qui est réveillé par son téléphone qui vibre. Une fois sorti de son coma éthylique, notre personnage se rend compte qu’il n’est pas chez lui, qu’il est nu, et qu’il y a une femme près de lui. Et pour combler le tout, il a la tête en vrac et ne se rappelle de rien.
Dans One Night Stand, notre objectif est de sortir de cette situation. Il va falloir « enquêter » dans la chambre afin de trouver des indices afin de pouvoir garder la face lorsqu’on discutera avec notre coup d’un soir. Finir le jeu est très rapide, en 10 minutes, c’est torché. L’intérêt du titre, si jamais bien entendu, on adhère au concept, c’est de voir ce qui aurait pu être différent. Alors on recommencera le titre pour découvrir la douzaine de fins disponibles.
One Night Stand est un petit jeu indépendant, propre graphiquement, avec ses animations de personnages faites au crayon. Mais cela ne casse pas trois pattes à un canard pour autant. La bande son est inexistante, les décors limités à 1 pièce et demi, et les dialogues sont en mode muet, mais heureusement traduits en français.
One Night Stand est un jeu que j’ai apprécié découvrir, mais qui ne mérite pas beaucoup plus que la moyenne à mes yeux. A surveiller en promotion pour ceux qui aiment les découvertes narratives et les succès faciles.