Rock of Ages 3: Make & Break Pierre qui roule… Pierre qui roule ?
Bon… Autant jeter un pavé dans la mare directement, je n'ai pas joué aux épisodes 1 et 2. J'attaque donc Rock of Ages 3: Make & Break en connaissant juste la réputation un peu folle du jeu dans laquelle, vous incarnez une grosse bouboule ! Au moins, on ne peut pas dire que je pars avec un avis de super fanboy sur la série.
Dans Rock of Ages 3: Make & Break, une fois que vous avez franchi l'écran de menu le moins sympa du monde, vous avez le choix entre créer ou détruire. Dans le 1er, il vaut mieux connaître la série ou le jeu un minimum avant d'aller proposer ses créations au monde entier. Dans détruire, il s'agit d'aller tester les inventions des autres ou d'aller voir dans le mode histoire si vous y êtes. Le pitch tout comme les animations semblent sortis d'un film de Terry Gilliam et c'est aussi absurde que rigolo.
Mais cela ne veut pas dire que Rock of Ages 3: Make & Break soit un jeu de la mort qui tue la vie. Visuellement, une certaine rudesse vient vous picorer la rétine et la lisibilité des niveaux a été oubliée dans le cahier des charges. Vous découvrez certains pièges ou certains éléments de parcours qu'une fois que vous êtes dans la merde.
De plus, si le mode obstacle coule de source et est le plus marrant du jeu, celui qui pour moi, reflète vraiment l'ADN de cette série ; je ne peux pas dire la même chose du mode tower defense qui est chiant à mourir (au moins autant qu'un concours de pétanque à l'heure de la sieste sur la chaîne des sports).
Rock of Ages 3: Make & Break souffle le chaud et le froid. J'avoue ne pas avoir eu la patience d'aller m'acharner. Cela ne veut pas dire que le jeu est mauvais et je vois bien pourquoi il est apprécié mais il est fait pour une communauté de fans spécifiques.
