The Language Of Love Bon… Vous en avez marre de votre liseuse ? Elle est… Trop petite… Voici de quoi vous occuper alors !
Ratalaika est un pourvoyeur de G et les chasseurs de succès savent que pour un jeu narratif de ce studio, cela veut dire succès faciles. Mais est-ce vraiment le cas ici ?
Voici ce que j'ai trouvé en faisant mes devoirs sur le jeu : "lors qu'il étudie pour ses examens d'entrée à l'université, Mitsuki en apprend beaucoup plus qu'il ne l'aurait jamais imaginé." Ainsi que : "Histoire cinétique d'environ 80 000 mots (environ 5 à 6 heures de lecture)" et "Une jolie mère célibataire !".
Ok… Maintenant, la vérité : Mitsuki (vous)… Vous n'allez pas le voir à l'université. Il va parler de ses devoirs, de ses profs et du fait qu'il est majeur. Info importante car après avoir aidé une gamine perdue en la recueillant (oui, c'est bizarre surtout avec des commissariats partout dans les grandes villes japonaises), vous allez rencontrer sa maman, Kyouko, qui est belle à tomber. Du coup, vous allez "aider" cette jeune mère célibataire car en plus d'être giga belle, est à peine plus vieille que lui.
Le scénario déroule chaque situation typique de ce genre de manga : la scène à la plage, le nettoyage des oreilles (oui… un gros délire que je ne comprends pas) et le "oups pardon, je ne savais pas que tu prenais ton bain" . Sans oublier le "désolé, je suis un peu ivre ce soir, hihihihi".
Cela ne serait pas trop pénible si j'avais quelque chose à faire dans ce jeu. En effet, je peux laisser le jeu en pilote automatique car ma seule action est de faire défiler les textes. A Winter's Daydream m'avait fait le coup et j'avais perdu 2 heures de mon temps. Ici… C'est pareil mais en 5 heures ! Le double ! Ce "jeu", j'en ai 10 comme ça par jour sur mon appli gratos de manga.
Alors, c'est vrai que le générique est sympa, que les thèmes musicaux et les dessins sont mignons mais un jeu vidéo doit garder le côté jeu sans quoi, c'est un peu un hors sujet comme ici.