Until the Last Plane A vous la gestion d'avion en pixels !
Riggs aime bien faire des petites phrases pour nous confier les jeux en test. le plus classique est "cadeau". Mais il fait parfois des petites phrases. Ici, le pitch de Riggs... "ça a l'air génial lol". Bon, on va donc voir si Until the Last Plane penche du côté génial ou du côté lol !
Alors, je m'en doutais un peu vu les avions mais ce n'était pas hyper frappant que nous étions pendant la Seconde Guerre mondiale. Tout est assez minimaliste sur l'histoire pour se concentrer sur le cœur du jeu : la gestion d'avions pour tenir et gagner les batailles ! Et pour cela, nous aurons 6 avions différents de la Seconde Guerre mondiale.
Autant commencer par-là, mais les graphismes ne sont pas oufs. Je ne dis pas ça pour les pixels, il y a des tas de jeux en pixels que nous testons à la rédaction et celui-ci n'est pas dans le haut du panier. C'est petit, pas ouf, avec des décors vides ! Bref, ce n'est pas très excitant. Idem pour l'ambiance sonore que j'ai déjà oublié !
Du coup, tout repose sur le gameplay ! Until the Last Plane choisi de nous faire de la gestion d'avions autour de trois grands axes : l'aérodrome où l'on répare les avions, choisi les pilotes à envoyer, la reconnaissance et les combats. Pour la première partie, c'est assez sommaire. Rien d'excitant au demeurant même si la réparation d'avion m'a sûrement le plus passionné au niveau tension et gestion dans Until the Last Plane. La partie reconnaissance... Bon... On voit le radar et puis on voit des trucs... Honnêtement, cette partie est la moins passionnante du jeu. Puis nous avons les "combats" !
J'ai mis des guillemets mais il faut me comprendre. De prime abord, j'espérais un peu de shoot'em up vu la vue des avions et au vu des pixels. Sans espérer un 1941 (ou ses suites), je voulais un peu tirer mais Until the Last Plane la joue différemment. On a tout d'abord les bombardements. Il ne s'agit pas de bouger et de lancer des bombes. Il faut appuyer au bon moment sur une longitude et ensuite une latitude pour ensuite que ça envoie la bombe où il faut. L'anti-fun incarné ? Vous n'avez pas vu les combats où je dois choisir une action pour ensuite voir l'action ennemie dans un chassé-croisé, un dogfight, digne de Derrick sous Tranxen !
Que je gagne ou perde un combat, que je réussisse un bombardement ou que tous mes pilotes soient saufs, je n'ai pas compris ce qui différenciait vraiment une victoire d'une défaite ! Et encore, j'y ai joué en étant en pleine forme ! Je n'imagine même pas mon état si j'y avais joué fatigué ! Bref, vous l'aurez compris, Until the Last Plane est un jeu que vous pouvez esquiver pour vous concentrer sur d'autres jeux de gestion de guerre plus appétissants !
